.:: Toi, Hélène Rollès ::. Hélène au cinéma dans EXIT d'Olivier Mégaton

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[ Exit ]

> Fiche technique du film

* Titre original : Exit

* Réalisateur : Olivier Mégaton

* Scénariste : Olivier Mégaton

* Compositeur : Nicolas Bikialo

* Principaux comédiens : Patrick Fontana, Feodor Atkine, Clotilde Courau, Manuel Blanc, Hélène Rollès, Serge Blumental, Frédéric Pellegeay, Jean-Michel Fête, Elodie Mennegard…

* Durée : 110 minutes

* Sortie française le : 12/07/2000

> Affiche du film

> Synopsis

Stan fut enfermé par erreur dans un asile de fous dangereux, Pontiac. A sa libération, il se cloître chez lui, refuse tout contact avec autrui. Seule sortie : le cabinet de son psychiatre, Olbek, et son travail à la morgue. Les meurtres reprennent. Stan est persuadé d'être schizophrène.

> Le rôle d'Hélène

Hélène a toute petite participation dans ce film. On peut la voir dans une scène qui se déroule dans une boîte de nuit.

> Critiques du film

Studio Magazine (Thierry Cheze) ****

(...) vrai film d'auteur parfaitement maîtrisé, qui réussit à aborder la violence sans complaisance.

Ciné Live (Sandra Benedetti) **

Ce n'est pas le scénario de "Exit" qui marquera les mémoires, mais bel et bien sa mise en scène, qui vaut le détour. Prometteur, le Mégaton.

(Marc Arlin) **

Exit souffre d'un syndrome de plus en plus fréquent chez les jeunes réalisateurs français : une grande maîtrise visuelle masquant un scénario creux.

Télérama (Jacques Morice) **

C'est sûr, Olivier Megaton, graffiteur, " clipeur " et " pubeur " renommé, a le sens de l'image (...). Pour le scénario, c'est une autre paire de manche.

Mad Movies (Stéphane Moïssakis) **

Formellement intéressant, le film se perd pourtant dans les méandres d'un scénario qui exploite sans fin les possibilités les plus improbables de son sujet (...)

Les Inrockuptibles (Serge Kaganski) *

Au bout de dix minutes, on est exactement comme le personnage principal du film, on cherche désespérément la sortie. Exit

Repérages (Christophe Chauville) *

Ce premier long métrage produit par l'écurie Besson se contente de fantasmer une certaine production américaine sans se soucier de la moindre notion de cinéma et pire, dans une confusion narrative qui laisse pantois.

Première (Gérard Delorme) *

Olivier Megaton est un jeune artiste visuel polyvalent qui, indéniablement, sait faire des images. Pour le cinéma, c'est une autre histoire. D'ailleurs, il n'y en a pas (d'histoire) dans ce premier long.

Libération (Olivier Séguret) *

(...) Exit tient tout à la fois du manga métallique et creux, du banc d'essai des nouvelles techniques de prise de vue et de la bulle esthète dépourvue de centre comme de gravité.

L'Ecran Fantastique (Bernard Médioni) *

(...) le goût du néant et l'attrait pour la déchéance signalent sans cesse l'artifice d'un traitement qui nuit aux maux de l'âme dépeints ici.

Positif - Pierre Eisenreich

Tournant à vide, ce film filmique se complaît dans un nihilisme où tout semble acceptable (...)

(Jean-Philippe Guerand)

(...) ce clip interminable sort l'artillerie lourde des poncifs, dégaine le grand guignol et donne un film d'une consternante vacuité et d'une insolente suffisance.

Chronic'art.com (Yann Gonzalez)

Ultime symptôme de ce cinéma privé de pensée : la violence. Surgissant via mille soubresauts furieux et autres effets de style (...), elle agresse sans susciter la moindre réaction (...), noyée dans l'excès général avec une inquiétante absence de complexe.

Source : allocine.fr

> Pour en savoir plus...

Ce long métrage fut d'abord un court-métrage, tourné en 1997 : "Je ne veux plus être sage". C'est un réalisateur allemand, rencontré à l'American Workshop d'Avignon, qui lui dit d'ajouter un avant et un après à cette histoire de serial killers, et d'en faire un long métrage.

Ce film fut présenté lors du festival de Cannes, qui se déroulait du 10 au 21 mai 2000. A cette occasion Hélène avait fait le déplacement sur la croisette.